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Un mot pour plus tard, le laissant partir, d'un appétit obligatoire de son espoir retrouvé, ayant perdu sa liberté.

Alors　! D’un mot le priant de recouvrer son libre ressenti, de ce rideau au carreau prisonnier, je lui demandais d'un jour, d'une heure, de bien vouloir m'accorder, au temps qu'il lui plairait, un instant de partage pour le fixer à tout jamais, sur une respectueuse image.

Une semaine venait de passer, et là, impertinemment, surprenant　! Il est arrivé.

Oh　! mon ami, aux forces qui nous gouvernent, croyant à cette poésie d'une seconde suprême, vous confortant de ma parole enrichie de foi, vous êtes revenu comme si, vraiment, vous aviez compris cette attente, d‘un souverain sentiment de joie.

Merci　! Infiniment de récompenser mon avenant de votre éclat vermeil, jaune, ocre ou pastel, je suis en vie quand je vous vois; tout paraissant plus beau, d'un idéal, d'un je ne sais quoi　?

Ton harmonie, se colle à mon plaisir, et le temps d'une minute, ton diadème nacré, crée, des yeux, au tout premier abord, mon poème, au livre de bord de mon instinct fidèle.

Auteur mpb