Petits papillons sous le rayon de la vie, s'inscrivent à cette nouvelle page de notre livre, d'images.

Auteur mpb

Oh! Mon ange, ne pense jamais qu'à tes dépends elle s'arrange.

Oh! Mon ange gardien d'un bien, bien étrange, destin.

Oh! Mon ange en discrétion d'être là, quelqu'un veille je crois, pour toi.

Oh! Mon ange prend un recul nécessaire pour comprendre qui elle est, sous son air de gaieté.

Oh! Mon ange la vie est un cadeau traversé d'un regard qui donne chaud, même sans été.
Oh! Mon ange ne laisse personne lui incomber un mal qui ne lui serait en aucun cas mérité.

Oh! mon ange dit lui bien qu'un comprendre c'est aimé, sans forcer l'abolition d'une encre de volonté, la pliant d'un pouvoir mal sain amené, d'un souhait de casser sa pensée.

Oh! Mon ange dit lui bien tout l'amour qu'elle porte aux ailes de ton destin, merci d'être là, à jamais au contour de son chemin.

Oh! Mon ange la vie est un parcours, qu'il faut lire entre les lignes, ne force pas un coeur pour assouvir tes heures, parle lui d'un mot digne.

Oh! Mon ange raconte lui ce besoin qui t'importe pour dissiper ce banc de feuilles mortes.

Oh! Mon ange une confiance se mérite d'un rite valeureuseument symphatique d'un honneur partagé à deux, devenant emblématique.

Oh! Mon ange suivre une route de bien, n'est pas simple au chemin.

Oh! Mon ange un dialogue serein confit bien du charme à demain.

Oh! mon ange enlève ces doutes qui noient l'amour sous un cache de rage pour une vison tendre à la page.

Parler avec vous mon ange me conforte d'un bons sens enclin d'humilité, et le rêve vient d'une sagesse main dans la main, ancrée sous une joie, comme sous ces embruns si vilains, parfois.

Auteur mpb

Instant charismatique d'une bibliothèque physique, à la présence magique d'un volatil sur la rive, donnant de l'oeil à sa vision du livre.

Un calme parait d'une distance établie, ne gênant pas d'un plis, sa philosophie de vie.

Auteur mpb

Certains endroits nous rappellent, d'un souvenir blottit dans la moufle éternel, de voyager léger pour gagner les steppes des hauteurs, sous la brume princière qui englobe les heures.

Et de son nuage de voile qui monte de la terre comme pour atteindre les étoiles, tes pensées rejoignent ton rêve, celui de vivre en paix entre ombre et lumière.

Comme il est long le chemin qui mène vers le ciel, transpercé de ces deuils qu'ils nous faut, tant subir, de ces amis perdus, de nos familles déchues qui nous triche parfois d'une faiblesse d'aimer, de ceux qui ne sont plus au sable de nos vies, qu'il est long le sentier pour comprendre qui l'on est de son devoir sacré d'aller vers la lumière, d‘un vrai.

Trouver le graal au fond d’un regard, ne rien en attendre qu’une pensée au fil d’un grain du soir qui simplement complète une partition d’être, et mourir chaque fois de ne pouvoir donner d’avantage, qu’un signe, un mot, aux attaches connues et demander pardon d‘être ce que l‘on est, décevant l‘horizon de ces modestes intentions.

Nous sommes la résultante de notre vue d'hier, apercevant les choses qui cachent tant de crues, au chagrin des demandes perdues.

Mais chaque jour est une aubaine souveraine au creux de la vie qui malgré tout sème ces poèmes, et demain en est la main qui te dira peut être? un jour merci, d’être là, d’être ici, puis renaître.

Passent passent les secondes, ainsi, libre de toi, se nourrit le monde.

Auteur mpb

Un bouquet de mille compositions, vous offrant par ce dimanche en nuances de gris, tout à fait anodin de sa brume de plis, un petit signe de charme à la vie, pour vous sentir vraiment bien, sous ces larmes de pluie baptisant, aujourd'hui..

Auteur mpb

Une élégance certaine se baigne à la veine douce de ta plaine de bleu, bordée de tes roseaux élancés comme heureux, donnant de l'envergure à ta jolie figure.

 Petit étang aux oiseaux nage dans ta liquidité de peau d'un bleu d'azur sous un horizon en démesure, occultant son trait pour te serrer dans son forfait de ciel, illuminant l'espace, 'd’une volonté de grâce.

Auteur mpb

 Une histoire se mélange aux désordres d'un monde, ou émue dans sa ronde une silhouette priait.

Désignée de constater de  bien drôles de façons qui éloignent les gens, d'une trop belle diversion.

De ces châteaux de sable qui s'effacent sous les vagues, ne voulant blesser personne de ces élans de pomme, elle espérait un geste de vrai.

Une discussion, pour seul apôtre aux versions de langues qui s'enflent et se rendent.

 Aux brumes épaisses, tombées d'un seul geste, effacer, le chagrin immense, calquées sur bien des tendresses, tout divaguait sans ivresse de sagesse pour effet.

Ces bonnes intentions se meurent par fois, d'une recherche de sensibilité, boutant l'envoi, loin de soi.

Comme une enfant aimant ses poupées, perdre tant d'années au profit des regrets, sans un mot simple et tendre pour confondre l'indiscret, elle ne pouvait se résoudre à moudre le grain, qui compose chacun, d'un soin, d'un quelque chose de bien.

 Se fermer à la porte blindée, qui au fil du temps, lui montrait bien la sortie, n'était pas son esprit.

Valoriser la clef, flanquée au gouffre d’un curieux dénigré, aimer assez, pour sans cesse vouloir la trouver.

 Sous le silence, dans l'ombre d'errance sans un cri, d'une parole oubliée, pour avec méthode  composer, ne rien brader de cette harmonie de nos vies.

Cherchant des réponses aux chances de soi, marchant des heures pour satisfaire sa voie, batir ensemble et comprendre enfin, la fin de tout ce qui sur l'eau aux larmes perdues d'un flux de plus, tel une coque qui tangue et se perd, de lâcher à la mer, tous ces travers, moqueurs, qui  peuvent blesser nos heures.

Lâchant du leste, pour ne pas périr noyée, aux chaloupes, d'un sacré dénivelé, ouvrant la barrière d'un épisode charnière. Tout n'est t'il pas éphémère? attendre, et laisser faire, l'embellie d'une prière.

 Aux rires élancés qui rayonnaient au clair de leur partage, ce fuyant message, qu' aux lignes du temps tout change, se mange, se dérange, et les plus belles choses finissent par finir, d'un manque de caresses, pour simplement, tout retenir.

L’on se quitte au charme émouvant des  années, sans avoir compris le vilain bouffeur de vies qui conditionnait, aujourd'hui.

Ne laissons pas l'effroi, froisser nos heures, d‘un plis bizarre survenu, d‘un cafard de mémoire.

Et les vents te racontent qu‘à la longue file du temps, ces gens qui t‘étaient si précieux, tu étais quoi? Toi pour eux. Combien? de lunes pour résoudre qui est qui? Qui nous sommes aux écrins diffus de toutes ces histoires déçues, émues.

L’affection  peut elle? être à la hauteur de nos plus beaux espoirs de bonheur, malgré tous ces cousus, de déjà, vus.

Alors! doucement ne pas guérir, de toi, de moi, de lui, à ne plus être, quelqu' un, ayant du cœur pour le genre humain.

Responsable nous sommes de notre pauvre clémence d'homme, en somme.

Réveille toi, avance, courage, fuyions, demain tout recommence, le pouvoir du coeur à cette sublime chance de chanson, se rester chers, de tous nos divers enfers. Il faut toujours casser une casserole pour se consoler de ces malheurs de charognes, cassont la, ensemble.

Et comme me le disait si bien joséphine, l'on ne punit pas toujours la personne pour son manque d'élégance d'amour, mais bien au contraire pour son savoir faire, de paisibilité, qui aux mots contractés, ne sont pas sur cet instant là, ce que l'on désir entendre.

Un jour, l'illusion s'efface, et l'on voit l'élan de tendresse, mis dans l'histoire en retrait, par necessité, pour protéger chacun, d'un bien, sans complexe.

Tirer une leçon d'humilité de tous nos coeurs blessés,   bafoués, et vivre pour aimer, jusque la terminaison de nos pensées.

L'espoir est honnête, garde ton esprit de fête. 

Auteur mpb

Un mot pour plus tard, le laissant partir, d'un appétit obligatoire de son espoir retrouvé, ayant perdu sa liberté.

Alors　! D’un mot le priant de recouvrer son libre ressenti, de ce rideau au carreau prisonnier, je lui demandais d'un jour, d'une heure, de bien vouloir m'accorder, au temps qu'il lui plairait, un instant de partage pour le fixer à tout jamais, sur une respectueuse image.

Une semaine venait de passer, et là, impertinemment, surprenant　! Il est arrivé.

Oh　! mon ami, aux forces qui nous gouvernent, croyant à cette poésie d'une seconde suprême, vous confortant de ma parole enrichie de foi, vous êtes revenu comme si, vraiment, vous aviez compris cette attente, d‘un souverain sentiment de joie.

Merci　! Infiniment de récompenser mon avenant de votre éclat vermeil, jaune, ocre ou pastel, je suis en vie quand je vous vois; tout paraissant plus beau, d'un idéal, d'un je ne sais quoi　?

Ton harmonie, se colle à mon plaisir, et le temps d'une minute, ton diadème nacré, crée, des yeux, au tout premier abord, mon poème, au livre de bord de mon instinct fidèle.

Auteur mpb

Potion magique d'une attirance artistique, et tout s'éblouit d'un effet d'harmonie, dans ce geste d'un rien, juste, de l'apparition d'un copain.

Auteur mpb

En face à face d'une illumination naturelle d'une belle aquarelle de belles.

Auteur mpb