Ecriture

N'est il pas  mieux de vivre avant la fin, plus tôt que d'attendre la fin, pour vivre enfin, d'une fin.

L'existence aux extrêmes d'une chance, d'un monde en fin d'humanité, qui redevient l'emblème par excellence d'un diadème de paix, pour revivre de ce qu'il sait de vrai.

Problèmes existentiels d'un essentiel attendu d'une réparation de notre condition d'hommes, pour en changeant la révérence d'une errance en somme, la multiplier d'une belle sérénité d'espérer.

 Se tenir  par la main dans ce ballet imparfait d'un destin, d'un univers de bien qui ferait,  basculer l'apocalypse fou au paradis d'une terre d'un mieux devenu, un rêve bleu sous tes yeux.

La fin d'un sicle, peut être? pour   apprivoiser par la réflexion engendrée, de la beauté de l'être, 

un déclanchement agrée,  de ce pouvoir d'une envie de vivre pour aimer.

Si ma planète n'est plus? si vous vous n'existez plus, à quoi bon survivre seule de son état de deuil?

Mais tout va bien, je crois en demain sur le chemin qui se peuple de fleurs, sous ce jour où je perçois le meilleur pour attendre la fin de cette heure qui suit son aiguille intrépidement  en vie d'une certaine candeur.

Auteur mpb