Amitié

Le temps se gâte d'un énervement servant de trop plein, d'un désespoir évident, d'une main.

Tu  ressembles au lys dans la vallée, céleste, magnifique de beauté.

Là, tu t'en éloignes, je voudrai pouvoir te rattrapper avant de laisser le chagrin te glâner l'air de rien, le penchant, devenu restreint.

L'amitié est un regard sachant lire entre les lignes d'un ton qui sait faire signe, pour qu'aux berges de la solitude tu ne te perdes pas, plus que d'habitude.

Pleure, lâche ta douleur de coeur, mais ne méprise pas, ceux qui ne te font que du bien, aux quatres coins, de cette estime qu'ils te portent, serein.

Reviens vers le soleil, pour retrouver ton visage aussi étincelant qu'il l'était la veille.

Ton charisme si vivant en dit long sur ton désespoir, venant.

Je t'aime, mon amie, même si ma vérité t'ennuie.

Au revoir, à bientôt, il me faut aussi me mettre un peu à l'écart, ma peau s'est déjà blessé à d'autres jeux de pommes, d'autres histoires.

Le chemin est long, et si vide par fois d'une jolie façon.

Reprend ton sourire, ne laisse personne t'en délivrer, moi je n ai fait que t'aimer avec sincérité.

Tu sais où me trouver, si le besoin s'en fait sentir, sûrement tranquille au bord d'un livre, je t'embrasse, avec plaisir.

Auteur mpb