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Date de création : 19.03.2011
Dernière mise à jour : 10.07.2019
1937 articles


Remonter ses souvenirs, aux femmes

Remonter ses souvenirs, aux femmes

Femme petite et ronde souriant à tout, toujours un mot qui se raconte d'une joie qui peut être dépassait un peu trop, dans ta robe blanche posant ta complainte tu ne savais pas qu'un jour de tes jours tu regretterais par un bleu sur ton corps, ce moment au décor, si heureux d'un oui de bonheur majestueux.

Les années passaient, tes copines de boulot te voyaient arriver parfois un peu ko, d'un manque de sommeil, d'un manque de merveilles sans compter les tâches mauves dissimulés sur ta peau, attendant un bébé, pourtant pour bientôt.

Au regard de l'enfance une tristesse passait, quand tu apparaissais chacun y allait de son commentaire défait, triste de te voir en peine d‘une peine qui hélas! Encore t‘appartenait.

Et par ces coups reçus, l'enfant qui naquit récupérait hélas les séquelles de l'audace d'une main qui frappe quand personne ne regarde, une femme.

Combien de fois devant ta glace des larmes sont venues pour essuyer les traces de cet affront de face reçu, qu'au matin il fallait cacher pour aller travailler.

Et puis trouvant le courage, un jour tu as changé de page, te motivant un autre équilibre au rayonnement nouveau, ouvert de ton livre.

Ton prénom se rappelle à moi, une femme en raconte une autre, aux années d'autrefois, alors qu'elle n'était qu'une enfant à la conversation des grands.

Et la vie se mire d'un combat, pour garder son honneur d'une grâce à soi, pour espérer ce bonheur que l'on doit à tout être qui saigne au cœur par un mauvais choix.

La violence partout gagne un sou.

Une révolte gronde  se battre d’exister à la fronde  qui ose franchir la balise d'un fatal, sans prendre le temps de regarder, la cadeur du visage, d’une femme.

Donnant le bien pour un mal, croyant bânir l'impensable qui trahissait ton intérieur, elle espérait toujours, revoir sourire les beaux jours.

Rien ne change d'un abus qui se glisse, une fois, deux fois et tout doucement insiste, vers un aboutissement déclin, te jugeant responsable de tout de son élan de chagrin.

Au dénit, la souffrance, l'errance sans un dialogue serein pour attraper une autre chance.

Sans elle, pas de source de vie, ne détruit pas ce qui un jour t’a donné l'amour, pense au regard de tendresse qui séchait tes peines hier, d'une étincelle d'envie, elle était aussi une des femmes qui soulageait d'un bon conseil ton âme.

Auteur mpb.