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Date de création : 19.03.2011
Dernière mise à jour : 10.07.2019
1937 articles


Coup de foudre

Coup de foudre

Croyez vous qu'un animal puisse vous kif fer en un regard comme cela au croisement d'une route au hasard.

Alors! Attendez que je vous raconte ce nouveau conte aux pages de ma vie.

Pacha, c’est le non choisit pour le baptiser à notre livre qui suit.

Dans une semaine cela fera deux mois qu'il ne me quitte pas.

Par fois lors d'une promenade suivant son instinct de nomade, il court après une joie, l'éloignant bien loin, trop loin de mes pas.

Nous rentrons, un peu triste de ne plus le revoir, tant il nous accorde de tendresses quand de loin il aperçoit notre miroir revenir d'une direction connue, vers sa poire.

Il n est guère haut sur patte, si bien qu'au confins des fougères, il se dissimule avec une habileté de première, se confondant sans problème avec la terre.

Un petit tour et puis s'en vont, le petit chien compose une chanson celle de la liberté négociée aux rythmes forts de ses tons d'envie, son passé.

_ Qui es tu? D’où viens tu? Trotteur, coursier des bois, conte nous ton histoire d'il était une fois, un animal au aboie.

Un abandon de plus?

 Quand on lève la main ou le bras, tu as peur de prendre une tape, comme si quelqu'un t'avait déjà, aux portes de ton chemin, donner à redire avec une frappe du pire, sur tes reins.

Les hommes tu t'en méfies, ne te laissant approcher que par mon plis.

Et bien sur! Par un autre copain à quatre pattes courant avec toi au mille contrastes du champ, de la route qui séduisent bien vos avants, de fouineurs charmants.

J’appelle au coeur de la nuit, d'une lettre un 0, que tu as si vite appris pour te retrouver n'importe où, sous les brumes, ou le tout, d'un nombre d'heures cherchant un drôle d'acteur de bonne heure.

L’autre jour, les voisins intrigués par ton espace encré aux espaces de mon recueil, t'entendait  devant la barrière  de ton choix, hurler de la voix espérant que l'on t'ouvre, mais bien avant nous, tu étais arrivé, nous ayant perdu sur une grande allée.

Maintenant, reconnaissant tes aboiements, nous communiquons à distance quand jouant au renifler de tes sens, tu perds  d'un  mouvement, notre balance.

Telle une prière tu reviens en arrière, ou de ton flair détonnant, après bien des manières aux kilomètres avalés, sous les coussins de tes usures, tu retrouves dieu sait comment? l'endroit de notre potentiel vivant.

Tu fascines par ton intelligence, toi ce clébard ramené au hasard par un dimanche blafard, où tu te cramponnais à notre buvard.

Ici tout le monde te connaît, mais c’est ici par un mot bénit, que tu as voulu vivre dorénavant, j espère pour longtemps.

Auprès de la cheminée, tranquillement reposé de tellement d'efforts, laisser pour compte sur une route, vagabondant de mille doutes, d'une détresse de poids, près de ton nouveau copain complice de tes émois, dorénavant tu t'endors, ronflant sous la sécurité d'un toit, apaisé par un  ami fidèle, veillant sur ton sommeil. 

Un animal comble tant d'oubli apportant une harmonie aux désillusions de nos vies.

Ils sont la clef de nos plus belles idées, de nos plus méditatives  pensées.

A mes chiens.

 Auteur mpb