animal

Marcher sous la pluie au règne verni d'une compensation de paix, aux feuilles rouillées, écrasées par nos pas.

Et regarder en l'air histoire de se défaire de nos blessures d'hier, d'aujourd'hui, aux chemins de la terre qui chaque jour nous en apprend de belles aux tomber des masques, sous une étincelle de lucidité, oh ! Merveille, d'inévitabilité.

Pourtant! Quitte de tout perdre sous la naïveté des temps, comme il est bon de se laisser porter par l'admiration de nos émotions, oubliant que parfois, d'un seul côté, se ressent, l'émoi, d'un envoie.

Et l'on reste triste à pleurer, ayant agit avec un apprécié, de vous, des vôtres de ce tout d'aimer, qui se confond d'une confusion aux sentiments, personne ne ressentant les mêmes, baisers, au même moment.

Au gouffre béant, l'année se termine, qu'apportera donc celle qui nous vient, aux portes de notre humble destin?

Une rose, un amour, une prose, un retour, attendre et voir venir sans autres raisons que d'accueillir, la plume sereine d'un mot, pour seule souveraine chaleur à la peau.

A vous, à la vie, merci d'être venu par ici, à tous ceux qui hier encore, laissait un com, un j'aime sur mes pages de laine.

Joyeuses fêtes, cette pensée est pour vous.

Auteur mpb