Fables

Au parterre d'un village perdu au milieu d'autres visages, elle resplendissait sous l'automne de son doux âge, donnant un reflet à toutes ses pages voulant rester vraie de son pauvre mirage.

Dupe de rien de ceux qui se cachent d'un alibi au cas où, vous seriez maudite d'une part de flou, mais pas très artistique, au goût d'une faute, manipulant l'autre pour une question, ou bien une autre.

Percevoir une partie de ce curieux manège aux ombres des pensées, et malgré tout, les apprendre, du bon, comme du moins bon, au plaisir de les aimer, pensait la fleur à haute voix, sous cette heure de choix.

Ne me faite pas ombrage de me penser stupide, depuis longtemps je comprends l'aride de ce jeu de dupe, ne soulevant pas sa jupe, d'une identité de vérité.

La fleur parlait avec bonheur, un peu lassée, fatiguée de toute cette ardeur ne dépassant pas la peur, pour livrer son coeur.

Alors, la goutte venant la mouiller de son effet de force, la blessa de son pouvoir si haut, d'une façon si moche, ne tenant pas compte de son profil clément, voulant juste d'un droit sans la comprendre, la blesser de son penchant d'écume nageant aux eaux limpides d'une amertume, ne considérant en rien son avenir, au bras d'un délire de possession.

S'intercalant à l'appareil qui de trop près voulait la mettre en valeur, elle lui déforma le coeur de son ardente passion d'une clameur de gaffe, lui dévalant la face.

Faisant son show, masquant la demoiselle d'une pauvre qualité d'ailes, lui volant la vedette, elle qui ne respirait qu'à être elle même, honnête.

Le photographe s'en alla, ne sachant pas, qu'au royaume des amours déchus, la colère par fois donne de drôles de résultats à la photo voulue.

Moralité, comment savoir? si l'amour se consulte d'une fleur coupée, d'une goutte de pluie, ou d'un regard posé sans un déclic précis pour afficher, d'une authentique façon, un acte de ton, délicatement offert rendant grâce au parterre d'une action volontaire d'une fébrilité sincère.

Va vers la lumière, marquise de ta fraicheur de mise, pardonne moi, cette gifle de pluie, ma petite fleur, ma folie, ma promise, mon envie, maintenant, je t'ouvre mon coeur ne me dissimulant plus, dans tout ce temps fichu, sans un mot, pour t 'enrichir le bulbe d'une conciliation de particules.

Alors! la goutte repentante demandait au vent en attente de souffler sur la charmante pour délicatement, lui rendre, son aspect poétique sous novembre, lancant sa musique clémente pour réconcilier l'attente au plaisir venant, d'un comprendre pour se sentir bien, au sentier de demain.

Auteur mpb