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Date de création : 19.03.2011
Dernière mise à jour : 10.07.2019
1937 articles


Un jardinier et sa rose

Publié le 18/09/2012 à 11:57 par mpb
Un jardinier et sa rose

  Un jardinier disposait au panier bien de jolies

fleurs  toutes attentives d'une certaine valeur. De loin, une rose plus ancienne, se sentant délaissée d'un je t'aime affirmé, prenait alors des distances, piquant le maladroit d'une chance de poids, le disant de surcroît, peu courtois, pantois de l'avoir cataloguée, toutes ces années, ces mois, sans lui offrir en émoi, un mot, pour soulager sa peau, d'une eau limpide et fraîche d'une sincérité honnête d'une source plus nette.

- quelle patience la fleur avait eu, le sachant déborder, comme perdu de son égoïsme de nouveau apparu, piquant d'un pointu d'orties au plaisir de sa vie.

- d'où venait ce malheur qui parfois lui déchirait le coeur, la rendant comme responsable aux sables de sa mélodie, de tous ces déboires maudits, qui d'un début de maladie certaine, comme aux tomates le mildiou, lui mordait encore le chou.

De son coin retranché, prenant son mal en patience, gérant l'ingérable évidence, de sa détresse passant des mois, des jours, des années, la fleur vieillissait, noble d'une indulgence, mais un peu, beaucoup fatiguée d'un certain manque d'élégance réitéré.

De lui chaque jour sans lui prendre son oeillet pour un défait, elle s'affairait heureuse d'un rien , à cueillir le muguet d’une chaleur de vœux, sous l'élan de l'été lui contant fleurette de sa dernière beauté.

Puis! Les heures se déclinaient d’un sombre de morsure, pas une rigolade pour se damner le pion d’une offre palpable d’un vouloir de dérision. Elle craignait de voir revenir ce poison de l’impossible urgence qui vous dégueule sa soif de négligences, alors, qu’au règne d’une enseigne, cinq minutes avant, tout postulait d’un plaisir charmant.

Une petite chance, ayant le bonheur à porter de main, et le lapider sans voir son frein dissiper dans l’air, sous le regard perdu des fleurs rieuses de leur maturité joyeuse, un souffle de torts au milieu de tout ce tendre décor. Elle sentait pousser auprès des marguerites effeuillées, la fois de trop qui ferait déborder le vase de sa crédulité passive, à quémander une olive, pour passer à autre chose, pour chasser ses pensées abusives sur la dalle froide d‘un dehors, redevenu resplendissant, d‘un divin de soleil se couchant.

Plus de coeur gros. Ce désespoir ne lui incombait en rien, mais il lui fallait bien quelqu'un, pour décharger son fardeau, de brouette, quand pleine d’un fouillis de tracasseries étranges, au sein de son bulbe secret, le pauvre homme se trouvait bloqué au milieu de son allée à penser.

Mais la fleur avait un secret, une note de bonheur qui galopait son coeur. Sa foi intacte de toutes ses frasques qui bafouent les consciences, dans un gouffre immense d'un vide sidérale, et toujours son osmose, pour perdre un instant pour narrer aux étoiles son étreinte de joie, essentiellement principal d‘un droit de fatal choix.

Cet amateur de roses, avait un talent fou d'une prose entre ses doigts, quand du matin au soir, il travaillait sans relâche, l'univers si fermé de cet enclos sous la brume enveloppée, d'une senteur de noix dans le suave nocturne, d‘il était une fois, un carré de terre si minuscule de son parterre, mais si riche d‘une fantaisie lumineuse en ses tailleurs fleuris.

Le jardin commençait à cancanier sur le jardinier,

Qui refermait son coeur si difficile d'accès, au gré de ses excès, gardant une fleur noire sur sa mémoire, laissant tomber les fleurs pour les légumes bien meilleurs, pour son cœur.

Chaque fois, le regardant avec amour, elles lui accordaient un droit de tomber au règne de toutes ces années. Prendre soin de toutes ces natures demandait de l’ouvrage, mais partir, si loin, tout en étant si près de leurs doux visages, alors les floralies s’interrogèrent sur leur devenir de pages.

Mais par un jour de trop, le maraîcher, montra trop d’animosité, qu’au parfum de son cœur elles allèrent se promener, sans cette fois le dédouaner de son sale caractère frisé, comme les laitues d'à côté.

Muettes, elles usaient simplement de leurs têtes, pour incliner ce trouble fête, à devenir autre, dans tous ces têtes à têtes. Le jardinier dans son tablier vert était devenu hostile à leur jolie lumière.

Alors! La rose dans son talus d’épine eut une idée de frime, ne fleurissons plus son jardin, que demain plus l’une, d’entre nous, ne rayonne d’un sou.

Aux habitudes tranquilles, lui donnant le 

sourire après un coup de fil au sécateur facile, mais quelque chose en ses pétales rose n’accrochait plus, dans l’idéal de rose.  Là, dans son coin au rythme des saisons de son modeste établit, beaucoup, elle avait appris.

Trop de bonheur ici, si bien qu’il nous oublie, qu’il nous néglige.

_ d’accord, essayons, cette autre façon.

_ D‘un éloignement vital, pour soulager leurs broderies de pétales, les pousses devinrent pâles, tristes, comme sales.

L’illusion était parfaite aux yeux de tous ceux qu'ils géraient dans sa partie de pêche, fier de montrer son jardin à tous ces beaux copains, là plus rien.

- pardon d'avoir été si occupé au point de t'avoir abandonné aux herbes faciles, aux ronces frondeuses, te laissant entre ces sauvages aventureuses, manger ton coeur de ta beauté intérieure. Ma pauvre rose.

Et vous autres aussi, quel dégât ai-je commis, entre être ailleurs, alors, qu’ici, j’avais tout simplement le bonheur, un paradis avec mes fleurs chéries.

_ Lui pardonnant à lui-même de blesser leur poème de ces étranges dilemmes, très conflictuels de cet établi privé, lui volant la clarté, de sa paisibilité, elles se remirent à briller, de mille feux jolies, ne laissant plus personne, leur manquer du respect établit d‘un échange hardi, de cet élan familier apporté à l'être aimé.

- peu importe! La raison sur le coeur aurait due l'emporter, mais la rose si mousse n’en voulant à personne de son manque de gracieuseté, et se demandant si l'amour, pouvait vraiment exister, après avoir tant donnée, rétablissait au cœur du jardin une caresse de chance, pour seul vrai secours d‘une avance.

- laissant chacun vivre de ses profondes recherches d'une assiduité de tendresse, là, dans son coin au rythme des saisons, de son modeste établit, elle avait beaucoup appris. 

De sa prière universelle contemplant la finesse rebelle de ces corneilles, commères d'une révolte justifiée, criant elles aussi leur choix, d'un désarrois de ce croa, croa, la rose ne pleurait, pas, croyant en sa voie, les saluaient d'un ton bas,

fermant ses yeux de tout ce malheureux déjà, vu, au-delà, de ses songes reconnus.

Dans un rêve d'amour, quelqu'un lui avait murmuré, qu'au long cours d'un sensible peu farouche:

je t'enlèverai demain, du pied de cette souche.

Un ami passant par là, au règne décret d'il était une fois un secret pour les roses, connaissant les qualités de la belle, la désirant sans compter de son aquarelle un peu fanée, au bilan des années, ne semblant pas dérangé, la marchanda tant et si bien, qu'au pauvre jardinier, il enleva son bien, de son jardin.

La fleur jamais n'avait connue pareille attention, et n’avait offert ses faveurs à un autre élu de fleurs, qui pourtant aussi, méritait peut être? un petit bonheur d'être, à son cœur déçu de poète.

La vie de son jardin béni rendait toujours une embellie, aux perles de pluie d'une rosée, dans un matin charmé annonçant un changement, au divin qui merveilleusement ruisselle, d'un calme certain rafraîchissant l‘air, d'un diluer joyeux savoir faire.

Adieu mon amour passé, je te laisse à ta vie, à tes drôles de pensées.

Un virage, un carrefour, et le temps vient à vous, ne pensant pas cela croyable, qu'à l'aube d'une lointaine année, quelqu'un pour finir vous aie vraiment aimé, au point de finir par venir vous le dire, au silence ancrée, vous l’ écrire, au royaume d'amour devenant, de nouveau réalité, en place et endroit d'un bel état.

De cet amour qui en elle prenait cours, la rose de son parfum d'osmose, dans sa simplicité de coeur retrouvait une erreur aux révélations tardives, unis d'un devenir, avant de mourir.

 La rose comprenait maintenant, le secret d'aimer, pour avoir été choisit de son parfum envoûté, et non de sa beauté.

Croire aux belles choses dans un acte de foi, pour couvrir d'une rose, les blessures sans joie.

Auteur mpb.