Un petit pied romantique se promenait de son flegme artistique, sous de larges dentelles aux fleurs d'une ribambelle de charmeuses étincelles.

Et vogue telle une vague, sur le sentier bleu d'une asphalte parsemée de sable, d'un pas, d'une paix exaucée.

Merci la vie! de communier avec moi, de ton débale de joies, quelque part, et pour n'importe quoi.

Auteur mpb

 A toi qui s'en va bien loin de tout cela, de nous, de ceux qui constituaient jusque là, ton capital de joie, de peines, aussi, par fois, tout simplement d'une vie qui va, pense à te demander si quelqu'un, cherche à t'en éloigner,

_pourquoi!

_Faut-il, séparer la nouveauté de ce qui hier te faisait danser.

Les pièces s'ajoutent dans leurs imperfections, leurs doutes, mais de toute cette affection donnée, sauf d'un risque majeur de contrariété, ne laisse pas derrière toi, cette vie d'autres fois.

L’idéal existe dans l'amour que l'on offre à la compréhension des êtres et de leur tablier de mal être.

Ne t'éloigne pas de ces yeux qui t'aiment, pour une exclusivité de rengaine, qui tôt ou tard pourrait briser définitivement, les valeurs de ton histoire de poème.

Ta sauvegarde contre les impostures, c’est-ce reflet imparfait, de ces habitudes blessées qui viennent des êtres du présent, du passé.

Là, ils te rendent justice, contre tous ces vices de forme qui caressent toutes nos plates formes.

Donne toujours des nouvelles, pour savoir où te trouver d'une étincelle, d'aimer.

Car ici! Quoique tu en penses, l’on t’aime de ta drôle de différence, de ton idéal intense qui les comblerait de savoir où tu es? d'une chance.

Parles leurs, avec ton cœur, ils sont aussi ta vie, ton honneur, ton bonheur, ne les laisse pas, égoïstement à s’inquiéter de toi, se rongeant jour, après jour, le bout de leurs doigts, par se manque de toi.

Si ton choix est heureux, ils l’avaliseront, de leurs mieux, crois en eux.

Ne te caches pas de ton  envie d'aujourd'hui, met au grand jour l’éclat de ton retour, ainsi, d’une justesse de vraie, ta seconde jeunesse refleurirait  d'une plus grande sincérité de choix, pas de paix sans cela.

T'évitant ces fausses notes qui souvent ne pardonnent pas, sur le chemin de nos choix.

A toi.*

Auteur mpb

Fontaine de jouvence d'une engeance de tons, relativement sereine aux simples regards qui doucement, s'attardent, se traînent.

Et sous l'aubade tranquille d'une poésie de vie qui défile, le jardin universellement, raisonne de ces milliers de vous, dans l'instant présent.

Auteur mpb

Histoire de révéler la prose qui ose.

au-dessus de l'image l'adresse est écrite en minuscule

au vue de tous en majuscule!!!!!!!!!

Auteur mpb

Ne boudons pas notre bonheur présent, d'un malentendu de ces quelques heures, d'avant, sachant que tout nous aie compté de ce temps passant inlassablement à volonté, pour modifier la donne de notre séjour au parcours des hommes devenu sans amour;  en laissant la garde du pardon, au placard si sombre de nos humeurs d'ombres, pour une  marque d'attention docile d'abandon de nos mauvaises raisons, foudroyer  nos indigestes intrigues, de tons, une solution.

Rallumons la bougie de l'harmonie nous portant vers l'infime académie, d'une partie de bêtise qui nous lie dans cette entremise, redevable tous d'être une fois insupportable de soi.

Si tout n'est pas inéluctablement fini, retraçons ensemble la carte de notre challenge en essayant de rester uni.

Et si rien n'est possible, vivons du souvenir disponible de ces beaux jours d'hier, où tout n'était d'une richesse printanière de nos échanges si doux.

Auteur mpb

Le bonheur en toute discrétion est passé par ici pour satisfaire mon envie, alors,

passant à mon tour, par chez vous, faire un petit détour, en toute discrétion j'en ai laissé un petit bout, sur votre paillasson à disposition;

ainsi, au moindre jour de pluie, comme tapant dans un ballon hardiment chassant tous les chagrins, au loin, vous resterez où que je sois, en possession d'un bien de magie, se notant d'une lente symphonie de mélodie, pour rendre belle votre vie.

Auteur mpb

L'avenir se pose une question? quant au fond de tes yeux s'inscrit une déraison d'obligation, de nous tenir la main, selon notre refrain.

L'avenir se pose la solution d'intervenir ou non dans le quotidien de cette réflexion.

L'avenir se lâche d'une intention de prévisions où tant de solitudes se regardent d'un quotidien de banalisation d'une habitude d'être ensemble.

L'avenir a vraiment raison de se matérialiser d'une intention au parler de nos habitudes,  non élucidées de ces poids maudits des mauvaises routines.

Alors, sous un soleil pompeux marchant à pas généreux sur ce brillant d'un jour, je vois s'éteindre la volonté perdue de notre amour déchu, sans un mot véritable pour remuer le sable.

Seule, au fond du bois, assise sur ce morceau cassé d'une foudre tombée, d'hier, je ne suis pas mendiante d'un espoir:

_ j 'attends! je pense! paisible, pour voir.

 Je songe seulement à la qualité tranquille de retrouver une idylle de vie, nous portant vers la vie, avec la lumière éternelle de ces promesses qui ne durent, jamais.

Je viens de comprendre le chemin à reprendre de tous ces visages qui vivent ensembles, sans plus jamais essayer d'être vrais, se subissant juste de ce temps qui s'ajoute, jour après jour d'un imparfait, au lieu de se distraire à la réalisation passionnée de toujours se surprendre, du verbe aimer.

Sincèrement, je veux plus, un regard le matin au réveil qui me trouve encore, et toujours plus belle, peu importe les jours qui s'amènent,

reconnaissant de la douceur de mon coeur pour satisfaire à ton bonheur.

Et croire à tout jamais à ce beau réel d'un je t'aime, par ce que simplement se sera toi qui me l'aurait dit, même devenu vieux, malade, et rabougri.

A ta parole pouvoir se fier, le reste ne serait rien à côté, garder l'envie de croire en tout, car tu es le lien de ce bien être qui me relie, à nous, à la grandeur de l'être, et voilà, tout!

Auteur mpb

Dans un endroit cloitré de biens de petits murs, regardant le plafond à longueur de journée, posées des mains croisées au-dessous de ta tête, tu penses, trop peut être?

Alors, repose ton esprit, doucement fermes les yeux et remplace ces grisailles de barreaux contre un joli vertige d'une fôrêt qui te dirige au coeur animal pour combler ton idéal.

Quel qu'il soit? rêve le de toutes les couleurs dont tu disposes au mieux pour soulager ton coeur; ajoute y tout ce qui te fait envie, n'aie pas de peur, tu t envoles heureux sous un ciel merveilleux aux nuages si bleus d'une limpidité première de belle rivière;

au fil de ton chemin ajoute y un train, une oie, un regard, tout et n'importe quoi? ce moment t'appartient nul ne peut te le prendre, il est à la portée de toutes tes commandes;

Une fois réalisée reprend le chaque jour pour y remettre et y replacer d'autres prestigieux atours, pour fermer à double tour, le gris qui? où que tu sois, t entoures, plus libre on ne peut pas, regarde, tu es chez toi.

Tes idées de rêveries contre un vent des oublis pour crier en silence, comme tu as beaucoup de chance d'avoir en toi cette imagination immense qui nettoie pour toujours, le plus mauvais de ton parcours.

Là, brave, immense et beaux d'un courage à multiples têtes, mettant tes copains au parfum, le club devient divin d'une volonté farouche de refaire surface pour une bouche d'amour en posant un baiser sur ses lèvres tant aimées.

Voyage au fond de ton présage, ne laisse personne gommer ton arc en ciel, ferme les yeux d'un bon sommeil, près de toi tout est merveille.

Profite de t'évader par la pensée, là, nul ne gère encore l'encre de ta créativité, allongé sur ton lit, tu vis........

Auteur mpb

Sur la route, pourtant quelques semaines au part avant ils étaient là, hauts, sublimes, présents.

Aujourd'hui, sans prévenir, couchés sur leurs dos, ils attendent, leur départ.

Mes amours, à chacun d'entre vous j 'embrasse cet arrondi qui en dit long sur votre mise en plis.

Plus rien n'est pareil au réveil, quand de votre investiture plus rien ne se mesure, alors dans ce dernier hommage, avant de tourner cette page, ou peut être je vous raconterai de nouveau l'histoire de votre tempo, je vous câline fort d'une estime attention qui jamais au grand jamais ne se démet, gardant au fond du coeur d'une belle révélation, votre éblouissante clameur.

Là, je vous verrai toujours, votre souvenir en moi, se baigne d'amour que rien n'effacera.

Auteur mpb

Sous ton emprise prune de mille tons en écume, sous un ciel clément d'une tendresse douce, tu fumes tes brindilles d'une décomposition de lune qui laisse débiter tant de senteurs dociles, courant libre comme l'air sous ta parure de feuilles meurtries de cette fin de saison, s'approchant au fil des heures vers l'hiver en déraison.

Tout se ranime d'une force cachée révélant l'éclat de ta folie oubliée.

Des traces percent ton plancher terreux d'une boue marquante, offrant à l'élu de passage la conviction surprenante, d'une vie unique planquée au creux de ces noires trouées.

Tout se crayonne d'un fouilli révolté de mille merveilles d'une potion avancée, défaisant à loisir, sa toile au gré de son divin plaisir, moiré.

L'automne se montre parant chaque endroit d'une effronterie profonde de son originalité de peintre au aboie.

Auteur mpb