aquatique

Tombe l'onde sous ton gris de parpaing, la naïveté de tes refrains ne donne pas d'éclat au jour d'aujourd'hui. Une larme folle envahit l'horizon, d'une émotion palpable, malgré une discrétion au sable, qui semble encore un peu prometteuse sous ces dernières beautés charmeuses, de fleurs, en tablier de couleurs.

Redoutable l'attente au nombre des années, où il a tellement fallu vivre, d'une envie d'oublier pour sans cesse se motiver de croire que tout cela n'était qu'une illusion de charme à la complainte d'une flamme, emprisonnée sans un dialogue aux longues solitudes de l'aube, quand un seul(e) pense être touché, par ce drôle de baiser, au coup de foudre arrivé.

Lutter n’est pas toujours possible, quand un sentiment vous pénètre d'une sublimité de l'être. Et le passé se galope d'une entrée en matière comme si ces longues années se réparaient d'une manière.

Coupée en deux d'un drôle de savoir faire, perdu au feu d'une étrange lumière, et tel un bateau sur la mer, solitaire au milieu des flots fous, qui maintenant s'éclairent d'une intention vitale, tu ne sais plus si le vrai cohabite, à l'illusion inscrite, fatale d'une émouvante histoire.

Pas de bouée de sauvetage pour t'aider à ne pas changer de rivages, mordu(e), tordu(e) d'une passion qui t'emporte, semblant voler pour quelques notes, tu te perds, mais est ce vraiment de ta faute?

Ton destin se marquait il ici, d'une empreinte due au hasard blagueur, farceur d'un jeu terrible, mais il fallait continuer le livre, à s'oublier soi même pour laisser les autres en paix, sur leur diadème.

Arraché(e) en quelques secondes, aux sentiers de son allée coutumière, ne demandant pas de première à la blessure de caractère, tenir ce gourvernail de l'habitude aimée.

Pas un mot pour te câliner l'écho d'un autre pré au soleil chaud, dispersant ainsi, le drame sous un pli d'une mélodie heureuse, gagner du temps face au chant des sirènes.

Avancer de cet envie d'aimer, cachant sûrement une peine, pour la transformer en une explosion sereine, te sachant tout avoir, au miroir de ta laine.

Au bout de ce chemin de vie, ne fallait il pas guérir cette envie, pour comprendre mieux peut être? La fragilité de l'être.

A perdre la tête, un jour, l'amour n'est il pas la raison du plus fort, quand tout se bouscule d'un appel de mots à la virgule, pour corriger sa vie, d'un silence à l'infini.

Ne donnant plus de misère à la peau, un constat salutaire de deux envies qui espèrent. N'est il pas merveilleux par fois de plonger en des bras qui vous invitent sous l'émoi à cette inscription inscrite d'un jeu de passion qui incite à la perdition d'aimer.

Tout à fait d'accord et après, qui reste sur le bord, seul (e) abandonnée), quand le film est rayé.

Dans cet éblouissement de l'instant combien de galères à vivre maintenant, quand l'effet se disperse de ce remue-ménage, déclanché.Si c'était aussi fort, aussi beau, aussi impressionnant d'une peinture aux tons chauds, as tu pris au moins le temps de le lui raconter personnellement?

Pourquoi? venir seulement, maintenant, réveiller son tourment, si joliment emmitouflé dans un mouchoir de soie sous l'oreiller des bois. Ne réclamant rien, à sa manière, n'a t elle pas toujours tenu ta main, familièrement singulière, d'une discrétion, d'entrain.

Tu es en elle, il est en toi, à quand ce rendez vous pour dissoudre cette incompréhension de l'attente, à se parler de nous, pour mieux se comprendre, pendant qu‘une vie donne encore de l‘envie à la vie.

 L'orage tape de plus belle sur les couvercles de poubelles, ramenant une réalité à la terre. 

Une magie opère c’est celle du mystère, agir avec foi d’une fois, pour motiver l’épreuve d’une osmose de choix, au livre d'images de tous ces visages inattendus d'un émoi. Voir le rose à toutes ces choses qui nous opposent.

Auteur mpb